Six mois, c’est le temps donné le tribunal de commerce de Mont-de-Marsan à Europlasma pour trouver une solution. Fin 2018, le groupe landais, coté en bourse, s’est retrouvé dans l’incapacité de rembourser les 6 millions d’euros d’obligations qu’il avait émis. Sans moyen de financer une nouvelle augmentation du capital et d’une cession partielle, l’insolvabilité du groupe le mène aujourd’hui au dépôt de bilan.
Mais en plus de devoir rembourser ces 6 millions d’euros, pour pérenniser l’activité vitrification gérée par Inertam et augmenter sa production, le groupe devrait investir 3 millions d’euros. Un effort financier conséquent, sachant que le retour en bourse des titres du groupe le 29 janvier dernier a donné le ton : 0,04 centimes d’euro le titre.
Quel sera donc l’avenir de la vitrification ? Affaire à suivre !